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Les ateliers de valorisation chez Partage sur RTS

La Fondation Partage et plus particulièrement ses ateliers de valorisation ont eu le privilège de passer au 12h45 sur la RTS le mardi 23 avril 2024. Un reportage à voir dans son intégralité ci-dessous :

Ce reportage met en valeur tout le travail de notre équipe valorisation, notamment celui d’Aurélien, notre cuisinier, ainsi que celui de Claude, en charge de l’atelier des fruits séchés.

Depuis sa création, la Fondation Partage s’est engagée dans la lutte contre le gaspillage alimentaire à Genève. Au fil des années, elle a mis en place une série de projets novateurs visant à valoriser les invendus, transformant ainsi les légumes en soupe, le pain sec en cookies et la torréfaction du café vert en denrées consommables .

Partage opère tel un maillon essentiel dans la chaîne alimentaire de la région genevoise. En récupérant les invendus et les surplus des entreprises alimentaires locales, elle contribue à réduire le gaspillage de produits frais, de fruits, de légumes et d’autres denrées. Cette démarche s’inscrit dans un contexte global où l’augmentation de la consommation exerce une pression sans précédent sur l’environnement.

Un des défis majeurs auquel la Suisse est confrontée est celui de la gestion des déchets urbains. En effet, le pays détient tristement le titre peu enviable de plus gros producteur de déchets en Europe. Dans cette optique, il est impératif de communiquer sur les mesures d’évitement à chaque étape de la chaîne alimentaire, de la production à la distribution en passant par le transport et la consommation.

Partage, par son action concrète et son engagement en faveur d’une consommation responsable, permet de prolonger la durée de vie des aliments. Par exemple, les pommes déshydratées proviennent de fruits locaux, souvent issus de surproduction ou « non-calibrés », c’est-à-dire ne répondant pas aux critères de la grande distribution. La Fondation Partage, grâce à des équipements financés par des dons, œuvre donc pour valoriser ces pommes afin de les distribuer aux institutions sociales du Canton de Genève, tout employant des personnes en réinsertion professionnelle. L’impact est donc à la fois environnemental, social et économique, s’inscrivant en droite ligne dans les missions fondamentales de la banque alimentaire genevoise.